La quasi-totalité des éco-organismes se sont rassemblés dans un « collectif » et envisagent une structure plus formalisée pour les représenter. Ils contestent l’idée de confier les fonds réemploi et réparation à l’Ademe. Ils demandent à être associés à la définition des objectifs des REP.
La mission d’inspection sur les filières de REP et la publication récente de son rapport auront au moins servi à cela : rassembler la quasi-totalité des éco-organismes dans une forme d’organisation commune. Ils s’apprêtent en effet à fonder une sorte de syndicat professionnel des éco-organismes, chargé de défendre leurs intérêts et leurs positions.
Au printemps dernier, les éco-organismes avaient publié une « position » commune sur le projet de création d’une instance de régulation des filières de REP, ayant le statut d’une autorité administrative indépendante (AAI) ou d’une autorité publique indépendante (API).
Ils ont récidivé il y a quelques jours en publiant un nouveau communiqué, cette fois-ci suite à la publication du rapport de la mission. A cette occasion, pour la première fois, on apprend qu’ils se sont constitués, au printemps dernier, en « collectif ».
Et c’est en cherchant à avoir des précisions sur la position exprimée dans ce communiqué que l’on apprend incidemment le projet […]
L’article complet dans Déchets Infos n° 282.