Quand l’affaire a éclaté, les pouvoirs publics se sont contentés de la révocation du DG d’Eco-Emballages. Comme s’ils n’avaient pas vu, ou pas voulu voir, que le CA de l’éco-organisme avait couvert les faits pendant des mois. Et comme si l’État lui-même n’y avait aucune responsabilité.
Depuis la création d’Eco-Emballages, les pouvoirs publics disposent, au sein du conseil d’administration, d’un « censeur d’État » : un haut fonctionnaire qui représente l’État, assiste aux réunions mais n’a pas de droit de vote.
Sur l’affaire de la trésorerie, la thèse des pouvoirs publics a toujours été de dire que le censeur, à l’époque, n’avait pas le pouvoir de demander les documents et les précisions suffisantes pour tirer les choses au clair. […]
L’article complet dans Déchets Infos n° 81.
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