La Cour n’a pas étudié les causes de « l’affaire de la trésorerie » et de ses placements risqués dans des paradis fiscaux. Elle ne s’est pas non plus intéressée au fait de savoir s’il y a eu des détournements.
Le rapport de la Cour porte sur les années 2007 à 2012. Cela inclut donc une partie de la période pendant laquelle la trésorerie de l’éco-organisme a été pour une large part investie dans des placements spéculatifs risqués, logés dans des paradis fiscaux (îles Caïman, entre autres). Rappelons que ces placements ont fait perdre à l’éco-organisme plus de 30 M€. On pouvait espérer que les magistrats s’intéressent un peu à ce qui avait pu conduire à une telle dérive pour un organisme supposé d’intérêt général. […]
Le dossier complet dans Déchets Infos – Edition spéciale Cour des comptes.