Les coûts nets des scénarios « consigne » et « ambitieux sans consigne » sont équivalents, autour de 1,8 Md€/an en 2029. L’Ademe préconise, en cas de consigne, un seul opérateur pour la gérer, et que la propriété de la matière récupérée lui revienne.
L’Ademe a essayé d’évaluer les impacts économiques et techniques que la mise en place de la consigne pour recyclage des bouteilles en plastique aurait, et ceux des différents scénarios sans consigne.
Pour que la consigne soit efficace, son montant par emballage consigné devrait être, selon l’Ademe, d’au moins 20 centimes pour les bouteilles et les briques, et d’au moins 15 centimes pour les canettes.
Toujours pour que la consigne soit efficace, il faudrait installer en France environ 34 000 machines de déconsignation automatique (« reverse vending machines », alias RVM), complétées par un système de reprise manuel sur les petits points de vente. […]
Le dossier complet dans Déchets Infos n° 256.