
Le document du SGPE affirme que la fripe générerait des impacts environnementaux négatifs. Les études réalisées pour l’éco-organisme Refashion montrent le contraire. (photo : xxx via Pixabay)
Une note d’un service du Premier ministre comporte plusieurs affirmations factuellement erronées sur la valorisation des textiles en tant que fripe et sur ses impacts environnementaux et économiques.
Le Secrétariat général à la planification écologique (SGPE), qui dépend des services du Premier ministre, a mis en ligne début avril une note sur les « Enjeux associés à la production et la consommation de textiles en France », où il est notamment question de la gestion des textiles en fin de vie.
Une des fonctions du SGPE étant notamment d’éclairer le gouvernement pour l’aider à prendre des décisions en matière environnementale, on pouvait espérer une analyse un peu fine de la situation et de ses enjeux. Mais si la note comporte un certain nombre d’éléments intéressants, elle contient aussi quelques informations factuellement inexactes et qui relèvent d’une méconnaissance grave de la filière, ce qui pourrait conduire à des décisions inadaptées. […]
Le dossier complet dans Déchets Infos n° 296.