
Les consignes de tri sont rappelées sur les couvercles des modules des Trilib’.
40 points de collecte en apport volontaire Trilib’ ont été implantés dans quatre arrondissements de la capitale. On vous dit tout (ou presque) sur le fonctionnement du système, les critères d’implantation, les rendements de collecte, la qualité du tri…
Après une présentation à la presse il y a un an et une expérimentation en trois lieux à la Villette l’été dernier, la ville de Paris étend son expérimentation des Trilib’. Pour mémoire, les Trilib’ sont des points de collecte de déchets situés dans la rue, sur des emplacements antérieurement réservés au stationnement des voitures, destinés aux emballages, aux papiers et, sur certains points, aux textiles.
40 Trilib’ ont installés à la fin de l’année dernière dans les 2e, 13e, 18e et 19e arrondissements, dans des secteurs « marqués par une faible dotation en bacs de tri dans les immeubles », indique la mairie. Il s’agit ainsi « d’apporter en proximité un service complémentaire de la collecte en porte-à-porte » des déchets recyclables. Trilib’ n’a donc pas vocation à se substituer à la collecte classique, du moins pour l’instant.
Le système Trilib’ s’inscrit dans le cadre du « plan de relance de la collecte sélective » d’Eco-Emballages qui vise notamment le milieu urbain dense, où les ratios de collecte par habitant sont plus faibles que la moyenne nationale.
Les meubles Trilib’ sont modulables en fonction des besoins des quartiers où ils sont implantés, identifiés après avis des mairies d’arrondissement et/ou
des conseils de quartier concernés. […]
Le dossier complet dans Déchets Infos n° 106.