Les dépôts sauvages sont manifestement en augmentation, principalement pour les déchets du BTP mais aussi pour les encombrants et les ordures ménagères. Les causes possibles sont nombreuses. Des solutions peuvent permettre de limiter le phénomène, à défaut de le stopper totalement.
C’est une réalité sur laquelle tout un chacun bute un jour ou l’autre au détour d’un chemin, au bord d’une route, aux abords d’un point d’apport volontaire ou d’une déchetterie, en bordure d’un champ ou d’une forêt : les dépôts sauvages. De quelques centaines de grammes à plusieurs tonnes ; du déchet d’emballage aux déchets amiantés ou de produits chimiques ; de la simple négligence de Monsieur Tout-le-Monde à l’entreprise quasi-industrielle…
Difficiles à saisir et pourtant bien réels, voire envahissants, les dépôts sauvages sont mal connus, mal évalués. Nous avons essayé — difficilement — d’en apprécier l’ampleur, l’évolution, les causes possibles et d’évoquer des solutions appliquées ou envisagées pour sinon y remédier, du moins limiter ou endiguer le phénomène. […]
• Une réalité très diverse
• Un phénomène manifestement croissant
• Un « bruit médiatique » en forte hausse
• Un coût élevé
• Beaucoup de déchets liés au bâtiment
• Les déchetteries en cause ?
• Un manque de déchetteries professionnelles
• Travail au noir et auto-entreprenariat
• Crise économique et boum du bricolage
• Tarification incitative
• Crise morale
• Technologie et nettoyage
• Plus de REP ?
• Information et coordination
Le dossier complet dans Déchets Infos n° 101.