
Les collectivités en contrat « financier » devront atteindre un taux de valorisation de 45 % globalement, et non pas flux par flux.
L’éco-organisme voulait privilégier les contrats « opérationnels » dans lesquels il assure lui-même le traitement, pour pouvoir garantir des tonnages minimums à ses prestataires.
Il aura résisté autant qu’il a pu mais il a dû plier devant l’insistance des collectivités et de leurs représentants Amorce et Cercle national du recyclage (CNR) — appuyés en l’occurrence par les pouvoirs publics. Eco-mobilier, l’éco-organisme des déchets d’éléments d’ameublement (DEA) ménagers, va signer avec une demi-douzaine de collectivités locales des contrats dits « financiers ». Les collectivités en question s’occuperont donc elles-mêmes de traiter ou de faire traiter leurs DEA, en échange de soutiens financiers versés par Eco-mobilier pour la collecte mais aussi pour le traitement. […]
L’article complet dans Déchets Infos n° 60.