Une étude de l’Ademe est en cours sur les effets de la facturation incitative. Mais faute d’outil adéquat à coût raisonnable, elle ne pourra pas mesurer l’ampleur des brûlages sauvages.
C’est entendu, les effets — bénéfiques ou pervers — de la tarification incitative doivent s’apprécier de manière globale, notamment pour voir si les uns ne seraient pas supérieurs aux autres, ou inversement. Autrement dit, il faudrait pouvoir dire si les impacts positifs dus à l’augmentation de la prévention, du recyclage et du compostage contrebalancent, ou non, les impacts négatifs dus aux dépôts et aux brûlages sauvages, au tourisme des déchets, aux dépôts dans les égouts, etc.
Une étude de l’Ademe lancée il y a quelques années fournira — peut-être — quelques éléments pour y voir un peu plus clair. […]
L’article complet dans Déchets Infos n° 44.