Eco-Emballages cite des chiffres justes mais les emploie de façon surprenante et/ou non conforme à ce qui était convenu.
Pour justifier que la clause de revoyure ne devrait pas le conduire à dépenser un euro de plus, Eco-Emballages n’hésite pas à réécrire l’histoire et à tordre le cou à quelques réalités technico-économiques. Son argumentaire peut se résumer en trois points :
1. les soutiens ont beaucoup augmenté depuis 3 ans […] ;
2. les coûts réels de collecte sélective et de tri sont en baisse […] ;
3. juridiquement, en cours d’agrément, c’est à l’éco-organisme et à lui seul de demander l’application de la clause de revoyure. […]
L’article complet dans Déchets Infos n° 36.