Les modes de dépense et de consommation des personnes à faibles revenus conduisent proportionnellement à une plus grande production de déchets, et donc à une « facture déchets » plus élevée.
On pourrait penser qu’un « riche » (une personne à hauts revenus) génère plus de déchets qu’un « pauvre » (une personne à faibles revenus) — puisqu’il est plus riche, consomme plus et jette plus —, et que donc le financement du service public des déchets par la tarification incitative, en fonction de la quantité de déchets résiduels générés, n’est pas socialement injuste, puisque le riche paye plus et le pauvre, moins.
C’est très probablement faux. […]
Le dossier complet dans Déchets Infos n° 153.
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