Les reproches faits à ERP avant son non-réagrément ont varié au fil du temps, ce qui amène à s’interroger sur l’objectif réellement visé par ceux qui les formulaient. Le timing imposé à ERP à la fin de l’année pose également question.
A l’été 2014, lorsque le projet de vente d’ERP SAS, la maison-mère d’ERP France, à la société allemande Landbell a été connu, les critiques de ses détracteurs portaient en particulier sur le fait que Landbell n’était pas un producteur. Elles émanaient en particulier d’Eco-systèmes ou étaient transmises par ses alliés, sur le thème « c’est la fin des REP à la française », « Landbell fait cela pour gagner de l’argent et c’est donc la fin de la non-lucrativité », « cela fait courir un risque de financiarisation des REP » et enfin « on risque d’aller vers des REP low cost ». […]
L’article et le dossier complets dans Déchets Infos n° 60