L’incinérateur de Gilly-sur-Isère n’a jamais respecté certaines prescriptions de son autorisation d’exploiter, délivrée en 1984. L’enquête judiciaire s’est, dès l’origine, orientée sur un aspect sanitaire. Mais les expertises médicales et épidémiologiques ont relativisé le risque et indiqué qu’on ne pouvait pas établir de « relation exclusive et directe de causalité » entre l’exposition aux fumées (et notamment aux dioxines) et les cancers des plaignants.
Retour sur la chronologie des événements.
L’article complet dans Déchets Infos n° 12.