Selon une étude réalisée pour la fédération des opérateurs, les méthodes pour comptabiliser les déchets selon leur mode de traitement varient d’un pays à l’autre, ce qui fausserait les statistiques, et donc les comparaisons entre Etats membres.
Le combat pour plus de recyclage et de valorisation des déchets peut, aussi, passer par une bataille de chiffres — ou plutôt sur la manière de compter —, si l’on en croit une étude réalisée par le cabinet allemand BiPRO pour la Fnade (Fédération nationale des activités de la dépollution et de l’environnement) et rendue publique à l’occasion de son dernier congrès, le 20 juin.
L’étude avait pour objectif de comparer les méthodes statistiques appliquées aux déchets en Allemagne, aux Pays-Bas et en France. Au passage, il s’agissait également de vérifier si « les Français » sont aussi « mauvais » en recyclage et valorisation qu’il y paraît — et que le disent les médias généralistes et les ONG —, et si nos voisins sont aussi « bons » qu’ils le claironnent.
L’article complet dans Déchets Infos n° 26.