Le ministère de la Transition écologique a demandé à l’INERIS d’expertiser la méthodologie appliquée par Eco-mobilier pour l’analyse des teneurs en plastiques bromés dans les déchets de mobilier.
Il y a quelques mois, Eco-mobilier nous avait assuré que les prélèvements et les analyses qu’il avait fait réaliser en 2017 sur des déchets d’éléments d’ameublement (DEA) n’avaient pas mis en évidence la présence de retardateurs de flamme bromés (RFB) polluants organiques persistants (POP). Selon l’éco-organisme, il n’y avait donc pas lieu de s’inquiéter. Mais il avait refusé de nous communiquer ses données.
L’affirmation d’Eco-mobilier était d’autant plus étonnante que plusieurs articles scientifiques portant sur des données internationales ont mis en évidence la présence de RFB POP dans les DEA, notamment en Europe.
Apparemment, l’éco-organisme n’a pas convaincu les pouvoirs publics. […]
L’article complet dans Déchets Infos n° 161.
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